Malgré le fait qu'il soit considéré comme un jour férié, le lundi de Pentecôte est dans la plupart des entreprises travaillé sans être rémunéré. Dans ce cas, il est considéré comme une journée de solidarité qui sert à financer des projets en faveur des personnes âgées et handicapées. Explications.

Silver Innov’, pépinière et hôtel d’entreprises spécialisé dans la Silver économie, est associée au Festival SilverEco depuis sa création. Bien plus qu’une simple solution immobilière, Silver Innov’ est portée par le Territoire Grand Orly Seine Bièvre et accompagne actuellement près d’une vingtaine de startups dans le secteur du bien-vieillir.

Expert de la fin de vie, de la mort et du deuil, Happy End, organisme de formation certifié Qualiopi, propose des formations pour améliorer la prise en charge du grand public par les professionnels dans une étape de vie délicate.

Le Prix Silver Valley célèbre les innovations françaises les plus prometteuses contribuant à la transition démographique, un enjeu crucial pour les prochaines décennies en France et en Europe. Tout projet médico-social ou sanitaire, ainsi que ceux favorisant le vieillissement actif, qu’il soit à ses débuts ou en phase de déploiement, peut être récompensé, à condition de démontrer sa viabilité et de prouver la faisabilité de ses ambitions de croissance.

La France métropolitaine recense 3,9 millions d’aidants familiaux. Ils apportent une aide régulière à leur proche âgé vivant à domicile : un soutien moral, une aide matérielle, un appui dans la vie quotidienne. Ajoutons à cela 720 000 proches aidants qui accompagnent des séniors résidant en établissement d’hébergement pour personnes âgées (EHPAD, EHPA, USLD)*.

L’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) est l’une des aides financières majeures destinées à leur venir en aide, mais elle est souvent mal comprise, sous utilisée et entourée d’idées reçues. Voici les idées reçues et le vrai du faux, pour mieux saisir l’importance de notre mission : accompagner au mieux les personnes âgées en perte d’autonomie et leurs proches.

Il est bien connu que les personnes âgées sont plus susceptibles de subir des chutes que les autres groupes d’âge. En effet, avec le vieillissement, plusieurs facteurs, tels que l’ostéoporose, les troubles de l’équilibre, la réduction de la mobilité ou encore les problèmes de vision, contribuent à un risque accru de chutes. Toutefois, ce que l’on sait moins, c’est que ces chutes peuvent entraîner un ensemble de symptômes et de conséquences, appelé syndrome post-chute, qui peut sérieusement compromettre la qualité de vie et la santé des personnes âgées.

Les personnes âgées font face à de nombreux défis au quotidien, et parmi eux, les syndromes gériatriques représentent une source majeure de préoccupation et de difficultés. Ces syndromes sont des troubles complexes qui affectent plusieurs aspects de la santé des seniors et qui peuvent être causés par différentes maladies ou facteurs.

À domicile ou en établissement, comme les Ehpad, le bien-être et la sécurité des personnes âgées sont des préoccupations majeures. Ainsi, lorsque le résident commence à souffrir de troubles cognitifs et de démence, le placement en unité de vie protégée (UVP) est recommandé. Toutefois, bien que cet environnement sécurisé soit recommandé par le personnel médico-social car il dispose d’un accompagnement adapté aux résidents ayant une pathologie neurologique; il peut arriver que l’entourage soit en désaccord avec cette décision. Dans ce cas, quel est le rôle du médecin coordonnateur et la législation en vigueur ?

Avez-vous des difficultés à payer vos soins dentaires, vos lunettes ou d’autres traitements médicaux non couverts par la sécurité sociale ? Les augmentations récentes des tarifs de l’énergie rendent-elles difficile le paiement de vos factures de chauffage, d’électricité ou d’eau ? Rencontrez-vous des problèmes pour financer les réparations nécessaires dans votre maison, comme la toiture, ou pour adapter votre domicile ? En effet, être un retraité d’un certain âge avec de faibles ressources comporte de nombreux défis et des dépenses au poids parfois considérable.

À 56 ans, Cathy Néré a réhabilité un ancien corps de ferme à Auros (Gironde), pour y vivre et proposer un lieu d’accueil pour des séjours temporaires à des personnes âgées.

Depuis fin 2014, la résidence Henri Convain propose un espace de vie adapté pour les personnes âgées immigrées. Il s’agit de 8 chambres dans des appartements partagés et de 14 studios totalement aménagés pour faciliter la mobilité des résidants dans les logements. Mais l’innovation fondamentale réside surtout dans la mise en place d’une coordination pour assurer le suivi des intervenants à domicile et le parcours des soins, ainsi que la mutualisation de l’aide à domicile.

Une très large étude sur plus de 20 ans montre que plusieurs biomarqueurs peuvent prédire l’apparition de la maladie d'Alzheimer jusqu’à 14 ans avant l’apparition des premiers symptômes.

A l’aube des nouvelles élections présidentielles, Serge Guérin, sociologue, auteur, professeur et Directeur Scientifique du pôle Santé-RH à l‘INSEEC fait le point sur la situation des aidants et sur les mesures qui devraient être mises en place afin de faire face à l’augmentation croissante du nombre de personnes âgées. Des mesures dont devraient s’inspirer les futurs candidats…

En 2017, le groupe KLESIA, dans la continuité de son engagement et de ses missions d’intérêt général et sous l’impulsion de sa direction de l’action sociale, a proposé à la fédération AGIRC-ARRCO d’engager un programme d’envergure sur la thématique de l’aide aux aidants. Mener une réflexion sur les besoins et les usages des aidants a constitué le point de départ du projet et la philosophie de la démarche mise en œuvre par le groupe. Aussi, a-t-il été décidé d’engager une démarche au plus près du terrain dès l’initialisation du programme, puis tout au long des travaux de conception jusqu’à sa mise en œuvre. Cela a mobilisé des équipes pluridisciplinaires internes et externes à KLESIA mais également un large écosystème de partenaires et d’acteurs engagés sur les problématiques de l’aide aux aidants.

AFP handicap est membre du CIAAF (Collectif Inter- Associatif des Aidants Familiaux français) au sein duquel une réflexion sur les aidants a été engagée donnant lieu à des revendications communes. Ce collectif composé d’associations de personnes concernées par une situation de handicap, de malades, de personnes dépendantes et d’aidants souhaite voir se construire une véritable politique publique en faveur des aidants avec des moyens engagés à la hauteur des besoins. L’État compte encore trop sur les familles qui supportent seules les efforts lorsqu’un proche se retrouve dans une situation de handicap ou de dépendance. Cela doit changer !

Le Yes We Care Summit est le congrès international axé sur le soutien aux aidants et à la place des aidants salariés dans le cadre de l’accélération du vieillissement de la population. Cet événement rassemble les professionnels du secteur : des experts en politiques sociales, des professionnels de la santé, des assureurs et des représentants d’entreprises pour envisager le futur des aidants et les défis à venir.

Spécialisée en santé digitale, l’entreprise suisse Domohealth s’intègre sur le marché français avec une solution sur-mesure visant à créer un contact entre les professionnels de santé et leurs patients tout au long de parcours de santé. Guillaume DuPasquier, son directeur, présente son application qui connecte le patient à l’ensemble de son écosystème médical, une application qui permet également le suivi des personnes en perte d’autonomie et/ou atteints de troubles neuro-dégénératifs tels que Parkinson ou Alzheimer.

L ’Assurance retraite, l’Agirc-Arrco, la MSA et la CNRACL lancent une série vidéo grand public « Les Zastuces » pour bien vieillir. L’objectif : mettre la prévention à portée de toutes les personnes de 60 ans et plus (ou moins !) désireuses de rester en forme.

L’ALEFPA, représentée par son Président, Daniel Dubois et Mario Bastone, Directeur général d’Énéal, ont signé une convention de partenariat pour structurer, à l’échelle nationale, les liens déjà initiés entre les deux entités. Cette convention formalise une collaboration renforcée destinée à répondre efficacement aux besoins d’attractivité, de modernisation et d’adaptation des logements et des services pour les aînés aux revenus modestes.